On ne le dit jamais assez, mais habiter près de son lieu de travail est un luxe. C’est d’ailleurs un critère de choix lorsque l’on est en quête d’un nouveau logement, devant la proximité des commerces et la qualité du cadre de vie dans le quartier sélectionné.

Chez OneChocolate, nous avons la chance d’avoir un mode de travail hybride et très flexible. Équipés de nos écrans, de nos ordinateurs portables et de nos accès, nous sommes en mesure de travailler aussi bien dans nos locaux parisiens qu’au sein de nos foyers. De quoi faciliter les choses lorsque l’on habite hors de la petite couronne !

Pour une personne habitant dans Paris-même, un coup de métro, de tramway ou tout autre moyen de transport mis à sa disposition par la ville facilite bien les choses, car quoi qu’on en dise (et malgré les mouvements sociaux intempestifs), la capitale peut se vanter d’être très bien desservie. En outre, pour se rendre au travail, les Parisiens composent également avec des moyens plus originaux. Ce n’est plus un secret pour personne : depuis la pandémie de COVID-19, la ville a pu observer une recrudescence en matière d’utilisation de trottinettes ou de vélos (traditionnels ou électriques), des moyens de transports pratiques, écologiques, et qui n’impliquent pas de se retrouver engoncé.e dans un petit espace en étant entouré.e de personnes masquées. Chez OneChocolate, nous ne faisons d’ailleurs pas exception à la règle, puisque près de 25 % de notre équipe se déplace à deux roues.

D’un autre côté, pour les personnes qui résident dans des lieux un peu plus reculés comme la Seine-et-Marne ou le Val d’Oise, les solutions pour gagner Paris sont moins variées. Majoritairement – et si l’on déclare la voiture hors-concours, surtout par les temps qui courent -, ce sont les transiliens et les RER qui permettront aux banlieusards de rejoindre des gares-clés telles que Montparnasse ou la Gare du Nord. Ils pourront ensuite se rendre à leur travail à pied (pour les plus chanceux d’entre eux) ou devront reprendre un à plusieurs moyens de transport pour enfin arriver à destination.

Tout cela m’a conduite à me poser la question suivante : combien de temps prend-t-on chez OneChocolate pour se déplacer jusqu’à nos bureaux ?

J’ai alors interrogé mes collègues afin d’avoir une idée de leur trajet quotidien. L’exercice s’est révélé très intéressant, puisqu’à l’agence, chacun d’entre nous provient d’un lieu différent.

Pour la team « parisienne » :

  • Alexandra, qui habite dans le 20ème arrondissement, met en moyenne 30 minutes pour venir au bureau et emprunte essentiellement les transports publics tels que le métro ou, lorsque le temps le permet, choisit de se déplacer à pied.
  • Xavier, qui réside dans le 4ème, emprunte exclusivement le métro et met environ 20 minutes.
  • Pour Alix, habitante du 11ème, tout dépend de plusieurs facteurs – dont, pour la citer, son « degré de flemme ». Quand la météo s’annonce clémente, son fidèle vélo électrique lui permet de se déplacer avec aisance. Mais elle ne délaisse pas le métro pour autant, qui reste un de ses moyens de transport privilégiés. 20 à 30 minutes lui sont nécessaires pour pouvoir atteindre nos locaux.
  • Pour Edouard, demeurant dans le 14ème , 16 minutes et 35 secondes précises à vélo lui suffisent pour arriver à l’agence – avec une variation de plus ou moins 25 secondes en fonction du vent et de la rapidité de la mamie à traverser le passage piéton de la rue du Bac !

Pour la team « provinciale » :

  • Ancien banlieusard, Jean-Marie a délaissé les environs de la capitale pour s’établir dans le Gard. Ainsi, le matin, il ne lui faut pas 10 ou 15, mais environ 20 secondes pour descendre les escaliers de sa maison avec élégance, chaussé de son plus beau combo « claquettes-chaussettes » et commencer sa semaine de télétravail.
  • Jusqu’en juillet dernier, Laure faisait également partie de la « team banlieusarde », mais la région de Nouvelle-Aquitaine, avec sa Dune du Pilat et ses cannelés, l’ont incitée à partir vivre de nouvelles aventures. Depuis lors, aller au travail n’a jamais été aussi agréable : en quelques pas seulement, Laure peut désormais passer de la chambrée au bureau en toute simplicité.

NB : nos collègues du Sud ne nous ont pas oubliés pour autant et reviennent régulièrement à l’agence pour rencontrer leurs clients, assister à nos réunions et partager des moments conviviaux avec leurs homologues restés à Paris ! En contrepartie, leur temps de trajet passe de cinq secondes à cinq heures…

Pour la team « banlieusarde » :

  • Après avoir essayé – sans succès hélas – d’atteindre nos bureaux à bord d’un char à voile, notre courageuse stagiaire Noémie, qui réside dans un petit village situé au sud de la Seine-et-Marne, met au bas mot deux heures avant de pouvoir rejoindre la rue de Clichy. Entre la voiture, le train et le métro, Noémie fait partie des salariés qui voient la flexibilité du télétravail comme une bénédiction.
  • Ex-membre de la « team parisienne », Benjamin, qui a désormais élu domicile dans le Val-de-Marne, peut compter (ou pas) sur le RER et sur ses pieds pour le mener à bon port entre 40 minutes et 1h15 en moyenne.
  • Le moyen de locomotion d’Elodie est tout trouvé : si le métro reste un moyen efficace de se déplacer, le trajet Seine-Saint-Denis – Paris n’a plus de secrets pour cette cycliste aguerrie. C’est alors au bout de 30 minutes de pédalage intensif qu’elle parvient à atteindre l’agence.
  • Du côté de Soufiane, qui s’est établi dans les Hauts-de-Seine, le métro (ou le parapente lors des jours fériés) reste le moyen de transport le plus simple, où seules 35 minutes suffisent pour lui permettre d’atterrir rue de Clichy.
  • Sylvie, qui habite également dans les Hauts-de-Seine, conjugue métro et marche à pied et arrive à l’agence au bout de 45 minutes en moyenne – quand la ligne 13 ne fait pas des siennes !
  • Pour ma part, vivant dans les Yvelines, il me faut prendre trois moyens de transport en commun (bus, transilien et métro) avant de pouvoir rejoindre la rue de Clichy, ce qui me prend 1h20 en moyenne.

Et vous, combien de temps mettez-vous pour vous rendre à votre bureau ?

Mylène Colombero